18 mars 1985 : Première de Zénith présentée par Michel Denisot avec comme invités
Pierre Desproges et Gérard Depardieu.
Cette émission, qui deviendra en
1987 Mon Zénith à moi, sacrera le « mariage » de Coluche et Thierry Le
Luron et accueillera le lancement des Restos du Cœur par Coluche.
Zénith était diffusé en clair du lundi au vendredi de 19h15 à 20h.
Mon Zénith à moi fut diffusé à partir de 1987 chaque samedi d'abord de 19h30 à 20h30 et à partir de 1989 tous les dimanche de 13h05 à 14h (et de 12h35 à 13h30 à partir de 1991.
En plein cœur des années 50, la ville de Milwaukee vit au son du rock
n’roll. Dans leur pavillon cossu, Howard et Marion Cunningham élèvent
Richie et sa petite sœur Joanie. Le jeune étudiant, un brin coincé,
passe le plus clair de son temps au bar « Chez Arnold » à écouter le
juke-box. Il y retrouve ses amis Potsie et Ralph Malph, toujours
partants pour une nouvelle virée. Tous les trois aiment faire la fête et
sortir avec les filles. Pour cela, ils ont un modèle : Fonzie. Dans les
toilettes, son « bureau », ce dur à cuire distille ses conseils et
roule des mécaniques.
Série télévisée américaine de 255 épisodes de 24 minutes, créée par Garry Marshall et diffusée entre le et le sur le réseau ABC.
En France, une sélection d'épisodes issus des saisons 1 à 3 a été diffusée à partir du sur TF1.
À partir du , La Cinq rediffuse la série en commençant par la saison 3, et dans la foulée programme les épisodes, restés jusque là inédits.
À partir de 1990, La Cinq diffuse la sitcom sous le titre Happy Days - Les Jours heureux.
Rediffusion partielle à partir du dans la nouvelle formule de Giga sur France 2.
Anecdotes :
Garry Marshall, le créateur de la série, n’est autre que le réalisateur de Pretty Woman (1990) et plus récemment de Valentine’s day (2010).
Happy days est notamment resté célèbre en raison de la musique de
son générique. Pourtant, le thème des deux premières saisons est
différent. Il s’agit du titre « Rock around the clock » de Bill Haley
& His comets. A partir de la saison 3, la chanson « Happy days » de
Pratt & McClain a été choisie.
Au lancement, Richie est le héros du show. Pourtant, la personnalité de
Fonzie va l’emporter. Son look (blue jean, perfecto noir, tee-shirt
blanc et cheveux plaqués) et ses expressions (dont le célèbre « tronche
de cake » à destination de Joanie) en ont fait le personnage à la mode
dans les années 70. Finalement, Ron Howard a quitté la série à la fin de
la saison 7 (officiellement, Richie est parti à l’armée).
En France, TF1 a importé la série dès 1976. La série a surtout connu le succès sur la Cinq. A partir de 1986, Happy days était diffusé tous les jours à l’heure du dîner. Suivant la diffusion, Happy days a également été appelée Les Jours heureux.
Henry Winkler a connu le succès grâce au rôle de Fonzie, le personnage
préféré des ados. Il a également été par la suite le producteur heureux
de MacGyver, avec Richard Dean Anderson.
Personnages de la série :
Richie Cunningham : Personnage central de la série. C'est le fils cadet de la famille
Cunningham. étudiant, puis militaire et enfin scénariste à Hollywood. C'est l'adolescent lep lus sérieux de la série.
Arthur "Fonzie" Fonzarelli : C'est un peu la Star de la série. Il est le meilleur ami de Richie. Il
est mécanicien puis professeur de mécanique et enfin doyen d'une école
technique. C'est le mec rigolo, séducteur, cool et vêtu de cuir de « Happy Days ».
Marion & Howard Cunningham : Ce sont les parents de Richie. Marion est mère au foyer et Howard est propriétaire d'une quincaillerie.
Ralph Malph : C'est un bon copain de Richie, il est étudiant puis militaire et enfin occuliste.Il interprétait le rôle d'un farceur et séducteur.
Warren "Potsie" Weber : C'est le copain d'enfance de Richie. Il est étudiant puis employé à la quincallerie.
Joanie Cunningham : C'est la fille des Cunningham, donc la soeur de Richie. C'est la femme
de Chachi (Neveu de Fonzie). Elle est étudiante, puis chanteuse et enfin
professeur.
Article en cours de construction par manque d'infos
Emission présentée par Philippe Bouvard. Elle était diffusée du lundi au vendredi, de 12h05 à 12h30 sur Antenne 2 de 1979 à 1982.
Confortablement installés dans un petit café, les invités très variés, répondaient aux questions de Philippe Bouvard.
Le 02/10/1979, Georges Moustaki est l'invité, il présente son album et chante "Et pourtant dans le monde"
Le 03/04/1980 Philippe Bouvard reçoit dans son émission Daniel Balavoine, il y parle de son
esclandre lors du journal télévisé, de sa carrière et de l'engagement
politique des jeunes. Il chante " Mon fils ma bataille ".
Le 27/10/1980 Philippe Bouvard reçoit Yannick Noah à propos de la place du
tennis français sur un plan international, de son avenir après le
tennis, de ses déclarations sur le dopage et le haschisch
Extrait de l'emission avec Yannick Noah
Le 30/01/1981 Jean Rochefort est l'invité, il évoque son retour au théâtre dans le mélodrame " Ariane à
Naxos" au théâtre des Champs-Elysées. Il parle également du prochain
film d'Alain CAVALIER "Un étrange voyage"
Le 04/02/1981 Daniel Balavoine intervient dans
l'émission de Philippe Bouvard pour accuser les hommes politiques de
mépris envers les jeunes. Il déclare que son seul espoir pour les
élections présidentielles est Coluche. Il chante " Mon fils ma bataille
". Il révèle qu’il a composé une musique inédite pour le spectacle d’un
humoriste qui n’a pas fait carrière depuis.
Le 04/12/1981 Philippe Bouvard reçoit Jean Carmet et Jean Lefebvre ainsi que Bruna,
partenaire des sketchs de Jean Lefebvre. Jean Carmet donne son
interprétation d'un texte de Jean Lefebvre : "Prends ta rolls et va
pointer".
Article en cours de construction par manque d'infos
FR3 diffuse l'émission Décibels réalisée à partir des tournages fait en régions, dont
beaucoup de groupes locaux « qui publie aussi quelques infos showbizz et
des critiques de disques à la rubrique rock du 3615 FR3.
L'émission servira de tremplin à de nombreux groupes de rock français.
A propos de Jean-Claude Morin :
En 1985, il réalise encore la saison 1 de l’émission de rock de France 3, Décibels de nuit,
pour laquelle il conçoit les premiers "very short shorts" de la
télévision, des sketches de quelques dizaines de secondes chacun, des
sketches jouées par un ou deux comédiens. Dans l'un d'eux apparaît pour
la première fois le comédien François Négret (Mauvais sang).
A propos du Rap :
Dans l’émission « Décibels » par exemple, diffusée en novembre 1987 sur
FR3, on découvre un mouvement musical « qui souhaite s’exprimer et être
reconnu », selon la formule du présentateur.
2 coupures de presse concernant "Décibels" : (à gauche sur un Télé Poche en date du vendredi 11 Juillet 1986, à droite sur un Télé Loisirs le jeudi 13 août 1987).
Cinéma, Cinémas était un magazine de cinéma qui apparut sur Antenne 2,
en janvier 1982, produit par Claude Ventura, Michel Boujut et Anne Andreu
et traversa les années 80 pour
s'échouer, en novembre 1991. Sa nouveauté principale était de ne pas
être une émission faisant la promotion des films, mais un vrai magazine
sur le cinéma et son histoire, avec interviews
d'acteurs cultissimes, comme celui de Richard Widmark
et analyses de scènes mythiques.
Et puis il y avait ce générique,
mélodieusement languissant, prodigieusement
mélancolique, avec ce lent travelling godardien, qui était une
oeuvre à lui tout seul (musique de
Franz Waxman, BO du film Une place au soleil, de George
Stevens, avec Monty Clift et Liz Taylor.)
Le réalisateur Jean-Pierre Jeunet, grand inconditionnel de l'émission, est à l'initiative de la rediffusion en 2008 de deux épisodes lors du festival de Cannes et d'une série de 12 épisodes composés des meilleurs extraits sur France 4. Ces épisodes sont également disponibles en DVD.
L'émission reçoit le 7 d'or du Meilleur magazine culturel ou artistique en 1986 et 1991.
Coupure d'un télé poche du mercredi 2 mars 1983 à propos d'une diffusion de Cinéma, cinémas:
Discorama était une émission de télévision musicale et culturelle française créée par Denise Glaser et présentée successivement par Jean Desailly,
Pierre Tchernia à partir de septembre 1961, Philippe Noiret et
Jean-Pierre Darras de fin 1961 à fin 1962, puis par Denise Glaser
elle-même à partir de 1964 jusqu'à la dernière émission du 5 janvier
1975, sur une proposition du président des programmes Jean d'Arcy. Discorama était diffusée chaque dimanche à 12h30 jusqu'au sur la première chaîne de la RTF puis de l'ORTF.
Discorama était un rendez-vous consacré à l'actualité de la chanson, du disque, du théâtre et du cinéma où alternaient chansons et interviews menées de main de maître par Denise Glaser
qui savait manier le silence mieux que personne et parvenait à faire se
dévoiler autrement tous les artistes, y compris les plus réservés,
sachant que la meilleure façon de faire parler quelqu’un est de
l’écouter et de se taire.
Discorama s’intéressait autant aux grandes vedettes qu’aux débutants, que Denise Glaser découvrait souvent au hasard d’un concert, puis qu'elle invitait. Elle a ainsi considérablement aidé Barbara, Sylvie Vartan, Catherine Lara, Maxime Le Forestier, Michel Sardou, Nana Mouskouri et reçu les plus grandes stars comme Jeanne Moreau, Serge Gainsbourg, Claude François, Brigitte Fontaine, Jacques Higelin, Véronique Sanson, Michel Polnareff, Johnny Hallyday, Charles Trenet, Jacques Brel, Yves Simon, Georges Moustaki ou encore Léo Ferré.
Discorama change deux fois de noms en 1972 et devient mensuelle avec Comme il vous plaira diffusée en deuxième partie de soirée, puis Si on se mettait à table.
Clairement ancrée à gauche, Denise Glaser a fini par être remerciée, après plus de 15 ans d’un travail d’une qualité irréprochable, suite à l’élection de Valéry Giscard d’Estaing à la présidence de la République en 1974.
L'indicatif musical du générique de l'émission reprend la chanson « J'ai du bon tabac »
L'émission, qui avait le plus faible budget de l'ORTF, adopta un décor
minimaliste, avec seulement deux chaises se détachant sur un fond blanc.
À son arrivée sur l'émission comme réalisateur en 1964, Raoul Sangla
pris le parti, à la manière d'un atelier, de ne rien dissimuler : les
caméras étaient visibles ainsi que les micros et les échelles.
En 1977, Pierre Cangioni journaliste sportif et Corse de son état,
présente aux dirigeants de TF1 ainsi qu’à la LNF son projet d’une
émission télé consacrée entièrement au football. Pour être sûr de son
coup il propose même un nom aux initiales de la chaîne qui flatte les
boss de TF1 " TéléFoot 1". Convaincus ils verseront
700.000 francs (106.000€) à la Ligue pour acheter les droits et les
images relatives à la Division 1. Téléfoot est né.
Diffusé le vendredi et le samedi soir, Téléfoot séduit. A tel point que Guy Roux, se lamente et râle auprès de la Ligue en prétextant que « l’émission vide les stades ».
Pourtant jusqu’en 1981 le format ne bougera pas et TF1 renouvellera son
partenariat avec la LNF en offrant jusqu’à 3M de francs (457.000€) pour
écarter la concurrence d’Antenne 2. 1981 est une date charnière, car
elle marque une nouvelle impulsion pour Téléfoot. Papa Cangioni est
écarté et c’est le jeune Michel Denisot qui le
remplace.
L’émission est déplacée au dimanche matin pour attirer un
maximum de téléspectateurs. La raison est aussi technique, en effet le
laps de temps et les images de matchs sont beaucoup plus importants le
dimanche que le samedi.
Le train de Téléfoot roule maintenant à très grande vitesse et la valse
des présentateurs est alors lancée. Denisot quitte TF1 pour Canal+ en
84, remplacé par Didier Roustan qui lâchera le navire en 89 lui aussi pour la chaîne cryptée.
Arrive alors Roger Zabel qui ne tiendra pas plus d’une saison et quitte l’émission en 90. La stabilité arrive et elle a un nom : Thierry Rolland.
Le regretté est à l’époque l’un des journalistes sportifs les plus
populaires et influents du PAF. Sa période de règne coïncide avec l’âge
d’or de l’émission qui durera quasiment 15 ans. En ce temps là, regarder
Téléfoot pour un footeux équivaut à aller à la messe pour un croyant.
Les chroniqueurs se succèdent, on peut voir à l’écran des gars comme
Larqué, Frédéric Jaillant, Pascal Praud, Vincent Hardy, Romain Del Bello
ou Christian Jeanpierre. Fait rare, Téléfoot accueille même des dames
comme Nathalie Renoux ou Estelle Denis.
Générique de Téléfoot (1979) :
Téléfoot du 17 avril 1983 avec Coluche et Mireille Darc :
Emission de télévision politique mensuelle diffusée sur TF1 du 26 mars 1985 au 18 mai 1989 et présentée par Anne Sinclair et Pierre-Luc Séguillon remplacé en 1987 par Jean-Marie Colombani. Réalisée par Alexandre Tarta.
Cette émission se proposait d’interroger un homme politique depuis
son domicile, afin de mieux appréhender sa personnalité à travers son
environnement et son cadre de vie.
Emission hebdomadaire de variétés de Patrice Blanc-Francard animé par Alain Maneval
et diffusé en direct et en public chaque samedi de 18h00 à 19h30 dans
lequel se pressaient les artistes branchés français ou étrangers des années 1980 (Niagara, Simple Minds, Gold…).
Le 28 février 1987, TV6 cessera d'exister au profit de M6 qui émettra dés le lendemain. Les dernières minutes de la chaîne se déroulent sur le plateau de l'émission "Tam Tam" en présence de nombreux artistes (Niagara, Charlotte Valendrey, Jean-Louis Aubert, Bernard Lavilliers, Catherine Lara, Francis Lalanne...)
Jeu télévisé français diffusé à partir du sur la RTF (sur la première chaîne à partir de 1963), puis repris sur Antenne 2 de à
Pierre Bellemare, animateur originel du jeu, cèdera sa place lors des dernières années à Philippe Gildas et Thierry Roland.
Concept : Une équipe de deux candidats (l'un la tête et l'autre les jambes) va tenter de décrocher la cagnotte dans un jeu alliant culture générale et épreuves sportives.
Dans un premier temps, la tête va devoir répondre à des questions portant toutes sur un thème précis. A chaque fois que la tête donne une mauvaise réponse, le candidat jouant les jambes (Le candidat jouant les jambes est fréquemment un sportif de haut niveau.) va devoir réaliser une épreuve sportive : en cas de victoire, l'équipe reste en jeu, sinon elle doit partir.
Il y a 6 questions par émission.
Si l'équipe arrive à passer 24 questions, soit 4 émissions complètes, cette dernière gagne la somme de 100.000 F.
Emission de télévision pour la jeunesse diffusée sur FR3 du au à une époque où la chaîne éponyme, Disney Channel, n'existait pas en France.
Il s'agit d'une émission familiale créée et produite par Dominique
Bigle qui dirigeait à l'époque Walt Disney TV et Vidéo Europe. Il confie
l'émission à Gérard Jourd'hui (producteur de La Dernière Séance). Cette émission reprend certains programmes de la chaîne américaine Disney Channel, qui n'arrivera en France qu'en février 1997.
En 1985, le Disney Channel est récompensé par le 7 d'Or de la meilleure émission pour la jeunesse.
Lors des 2 premières saisons, l'émission, présentée par Donald Duck (auquel Guy Montagné prête sa voix) proposait à partir de 20h05 : Les Aventures de Winnie l'ourson présentées par Jean Rochefort, puis à 20h30 des cartoons Disney, Zorro, Donald Duck présente, Disney Souvenirs, Disney TV et Davy Crockett.
En 1988, l'émission sera présentée par Vincent Perrot.
Durant ces 5 années, le Disney Channel aura aussi diffusé L'épouvantail, La bande à Picsou, Les Gummies, Kit Carson, Les Wuzzles...
Sitcom française en 104 épisodes de 26 minutes, créée par Didier Albert et Claire Blangille et diffusée entre le 11 septembre 1988 et 1991 sur TF1.
Synopis : Le quotidien de l’entreprise Cosmoliner n’a rien de commun. Il s’y passe
tous les jours de la semaine quelque chose de toujours plus farfelu. En
haut de l’organigramme, M. Pierre-André Dejust veille au grain, avec
l’aide de Mlle Shiftmaker. Au 9e étage des bureaux se trouve le service
de Jérôme Battelier, lui-même sous les ordres de M. Moulinet. Le petit
chef y est entouré par ses trois secrétaires (Béatrice, Agnès et
Monique), des jeunes femmes de chic et de charme...
Distribution: Bernard Menez (Jérôme Battelier), Arielle Séménoff
(Béatrice), Katia Tchenko (Monique), Chantal Alves (Agnès), Jean
Rougerie (Gérard Moulinet), Micha Bayard (Eliane Shiftmaker), Jacques
François (Pierre-André Dejust) et Élie Semoun (le coursier)...
Anecdotes :
- La première saison a été diffusée chaque dimanche sur la case de 18h30, avant 7 sur 7. Après le générique, le public pouvait ensuite rejoindre Antenne 2 et Maguy.
- Le générique de la sitcom a été composé par Jean-Pierre Bourtayre,
Simone Harari et Fabrice Cuitad. Ses paroles sont restées célèbres. En
voici un extrait : « Vivement lundi, qu’on retrouve tous ses amis. On
rit. On vit. On se dépêche. On court jamais ensemble. Vivement lundi,
on va tout se raconter. Tous nos secrets, nos coups de cœur, bonheurs,
chagrins oubliés. Vivement lundi, la folie, c’est trop, chacun son grand
Show. Allo, Cosmo, dimanche c’est fini, ciao, bonjour C’est lundi,
lundi, pas la nuit, hi hi hi... ». Cette chanson était interprétée par Rouge Tatoo.
Série télévisée française en 220 épisodes de 26 minutes, créée par Stéphane Barbier et Guy Gingembre et diffusée entre 1987 et 1991 sur TF1.
Synopsis : Marc est un vétérinaire accompli, passionné de bandes dessinées et
maquettes de corsaires. Sophie est, quant à elle, médecin généraliste.
Ces deux-là forment un couple épanoui. Ils partagent tout, au point de
faire salle d’attente commune, avec Stéphanie, la secrétaire. Insolites,
voire farfelues, leurs journées ne ressemblent à aucune autre. Et
lorsque les beaux-parents ou la concierge s’en mêlent...
Distribution : Gérard Rinaldi (Marc), Julie Arnold (Sophie), Marie-Pierre Casey (la
concierge), Ginette Garcin (Mamma), Daniel Gélin (Edmond) et Claude
Gensac (Grenelle)...
Anecdotes :
- En décembre 1987, Marc et Sophie était suivi chaque samedi par 25% du public.
- Mis en chantier dans la foulée de Maguy, produit par Télé images, Marc et Sophie a installé ses décors sur un plateau de 1 000 m², au studio de France à la Plaine Saint-Denis.
- De nombreux invités ont participé à la sitcom française. Parmi eux :
Bernard Menez, Amanda Lear, Michel Constantin, Luis Rego, Rufus, Michel
Creton, Alice Sapritch, Michel Galabru, Henri Guybet, Patrick Préjean,
Jacques Balutin, Patrick Sébastien, Elie Semoun...
- Le samedi 8 février 1992, TF1 diffuse le dernier épisode à 18h45, case qui sera occupée après par Les Roucasseries.
Coco-Boy (ou Co-co Boy suivant les parutions) est la suite du Collaro Show.
Autour de Stéphane Collaro, la joyeuse troupe composée par Guy
Montagné, Jean Roucas, Marie-Pierre Casey, Alain Scoff, Philippe
Bruneau, Pit et Rik mise sur la parodie pour amuser le grand public.
L'émission est diffusée sur TF1 d'octobre 1982 à avril 1984, en prime time, le vendredi soir.
Au sommaire du divertissement, « Brie-Comte-Robert » est la copie franchouillarde de Dallas, avec la famille Jean Foutre. Dans « Canular à la commande », les fantasmes des téléspectateurs sont des ordres. Également au programme : « L’Interview du mois », « Les Grands de ce monde » , « La Playmate du mois » et des variétés.
Dès le premier numéro, des marionnettes inspirées du Muppet-Show ont fait leur apparition dans leur grand théâtre. Kermitterrand, Barzy, Marchie et les autres sont devenus les stars du Bébête show, caricature du monde politique.
À l’occasion de cette nouvelle émission, Stéphane Collaro est entouré
par ses « Coco-girls », quatre jeunes filles plus et surtout moins
dévêtues, avec Shane, Monica, Natacha et Corynne dans un premier
temps,qui chantent et qui dansent.
L'émission a ensuite été remplacée par Cocoricocoboy, une émission plus courte, mais à la diffusion quotidienne, qui reprenait la même équipe et une partie des rubriques.
Christophe Dechavanne s'était fait connaître du grand public en animant
« C'est encore mieux l'après midi » tous les après midis sur Antenne 2.
Fin 1987, il quittait Antenne 2 pour TF1 et concevait une nouvelle
émission de type talk show qui allait entrer dans les annales de la
télévision française : « Ciel mon mardi !». L'émission est hebdomadaire et est diffusée tous les mardis soirs en 2eme partie de soirée de mai 1988 à juin 1992.
Initialement produite par Gérard Louvin (GLEM), l'émission a été ensuite produite entièrement par Coyote,
la société de production de Christophe Dechavanne ; cependant, il
arrête cette émission en juin 1992 pour débuter à la rentrée suivante
l'émission Coucou c'est nous .
L'émission était découpée en trois parties :
Un premier débat de société "sérieux" (la peine de mort, la chasse, les sectes);
Le bloc-notes, qui réunissait autour d'une table Christophe Dechavanne, Patrice Carmouze, Michel Field, Renaud Rahard, Sophie Favier et qui commençait toujours par le « J'aime, j'aime pas » de l'invité ; Michel Field est devenu chroniqueur dans l'émission en 1989 après y avoir été invité comme simple témoin pour son roman Impasse de la nuit et Christine Bravo était chroniqueuse dans le Bloc-note mais elle a vite quitté l'émission.
Un deuxième débat plus léger : (le nudisme, les extraterrestres).
Le générique de l'émission est la Maxi Version du titre "Rock Da House" du groupe Beatmasters.
Émission spéciale :
Le ,
la centième de l'émission a donné lieu à une émission spéciale
délirante interprétée (à l'insu des téléspectateurs jusqu'à la fin de
l'émission) par une troupe de comédiens de la Ligue d'improvisation française avec, comme invité principal, l'acteur Christian Clavier.